Gladys Kazadi [Lisolo]
Née le 20 avril 1994 à Nivelle, Gladys Kazadi a passé une partie de mon enfance dans la ville de Bruxelles et depuis 2003, habite à Berchem-Sainte-Agathe.
Elle est l’aînée d’une famille de 4 enfants ce qui a suscité en elle un sens des responsabilités accru et une attitude bienveillante dès son plus jeune âge.
Après avoir effectué ses humanités au Sacré-Cœur de Jette, Gladys Kazadi a étudié les sciences politiques à l’Université Saint-Louis de Bruxelles. Enfin, elle a entamé un master en Relations Internationales à l’UCL dont le Mémoire portait sur “le processus de réconciliation comme vecteur de pacification au lendemain des conflits intercommunautaires (le cas du Kivu)”.
En 2018, Gladys Kazadi est élue au sein du cdH (qui est devenu depuis lors “Les Engagés”) comme Conseillère communale sur la commune Bruxelloise de Berchem-Sainte-Agathe. Depuis 2019, elle siège comme Députée au Parlement bruxellois et en 2021, Gladys devient Échevine.
Au nom de Radio Mbote, un tout grand merci pour l’accueil chaleureux et la disponibilité de Madame la Députée Gladys Kazadi.
#JJB
Commentaire Les seuls « engagés »qui pourraient m’intéresser…vu que « moralement humaniste anarchisant, donc, en pratique, centriste solidaire des miséreux », sont, vu le passé particulièrement pourri des chrétiens démocrates belges, sont forcément issu des « néo-belges », qui ne peuvent connaître la cuisine de la « haute » chrétienne démocrate de l’époque. Des natifs d’origine, mieux « au fait de l’ambiance », s’ils sont compétents, fuient les responsabilités dans ce pays, devenu quasi ingouvernable. De l’humanisme en naviguant à vue… tandis qu’il y a toujours autant de flibustiers… Difficile. Souvent, l’arrivée en Belgique n’est pas une perte des compétences sociales des congolais, mais une rupture avec le clanisme qui condamne le Congo à être un camp de bataille permanent, où les « loosers », pays compris, sont forcément la majorité, et les « winners » des gens infréquentables. Cette vague d’immigration nous a apporté la crème du Congo, qui est venu enrichir ce pays d’un humanisme et un savoir-vivre méconnu.
A voir si cela puisse aider ce pays, son pays – le Congo est mon passé, pas le sien… – , la Belgique, à traverser dans des conditions acceptables la crise qui s’annonce , et s’annonce terrifiante. Un monde ancien s’écroule embourbé dans son propre chaos. Cette créolité culturelle ayant assimilé le fonds commun… pourrait apporter des solutions, et faire germer « autre chose » que la société des pirates et lèche-cul des pirates, qui a été la fondation du château qui, pour cause d’être construite sur telles fondations, s’écroule. Une lecture naïve du passé belge, permettant de forger une société saine, fusion de bondeko et de responsabilité personnelle pour l’intérêt commun… c’est possible.
A voir.
( un « engagé » aux racines trop belges ne pourrait que susciter mon mépris : « à table ! « … ) … Aussi, je ne le vois que comme un début. Une graine qui germe. Le terreau, c’est du compost. Matière morte en décomposition : la chrétien-« démocratie » ancienne…